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الجمعة، 17 أبريل 2015

( les socialistes français Et la guerre d'Algérie ) (الاشتراكيون الفرنسيون وحرب الجزائر )

François Mitterrand , les socialistes français

 Et 

 la guerre d'Algérie (1954-1958)فرانسوا ميتيران , الاشتراكيون الفرنسيون  وحرب الجزائر

 
En 1954 ,un dénommé François Mitterrand, un des personnages clés de cette période sombre de la 4eme République, il est nommé. D'abord ministre de l'Intérieur, dans le cabinet de centre-gauche de Pierre Mendès France,. ( pierre isaac isidore mendes france ). puis ministre de la justice  garde des Sceaux dans celui de Guy Mollet.


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Mitterrand manœuvrait dans une tout autre direction que Pierre Mendès-France, dont il fut le ministre de l’Intérieur en 1954
 
Ce documentaire jette une lumière sur le rôle de François Mitterrand dans les gouvernements auxquels il a participé de 1954 à 1957 ; en particulier, du 1er février 1956 au 12 juin 1957, - alors qu’il était ministre de la Justice du gouvernement du socialiste Guy Mollet - François Mitterrand a envoyé à la guillotine plusieurs dizaines de  nationalistes algériens.

Le 19 juin 1956, les deux premiers condamnés sont conduits à la guillotine dans la cour de la prison de Barberousse, à Alger : Ahmed Zabana, et Abdelkader Ferradj, exécutés a sept minutes d'intervalles entre eux.

... il sera chargé, par le Conseil des ministres, de défendre le projet de loi remettant les Les pleins  pouvoirs spéciaux à l'armée ; lesquels permettront au général Massu et au ministre sur place lacoste  d’organiser la répression . plus de 3.000 exécutions sommaires et 16 exécutions capitales .

La justice française prononcera plus de 1.500 condamnations à mort durant toute la guerre d’Algérie ; selon le "registre des grâces" - sur lequel étaient répertoriés les noms des condamnés à mort - au total 222 militants du FLN sont exécutés entre 1956 et 1962.

Mitterrand eut à statuer sur 45 dossiers de recours en grâce  il les a rejetté ; « avis défavorable au recours » ou encore « recours à rejeter » sont les deux formules qui avaient sa préférence.
 
 
- le 5 novembre1954  a la commission de l'Intérieur, il déclare : 
 
La seule négociation, c'est la guerre » ( bien que légalement, il ne s'agisse que de maintien de l'ordre )!!! "
 
 
 le 12 novembre1954  À son arrivée en Algérie juste après le lancement de   l’insurrection armée par le FLN.  il declare :
 
 
L’Algérie, c’est la France !, la négociation avec les rebelles c'est  la guerre "
 
 et puis ... : « L'Algérie, c'est la France et la France ne reconnaîtra pas chez elle d'autre autorité que la sienne ».
 
«... Faut-il que l’Algérie ferme la boucle de cette ceinture du monde en révolte depuis quinze ans contre les nations qui prétendaient les tenir en tutelle ? Eh bien ! non, cela ne sera pas, parce qu’il se trouve que l’Algérie, c’est la France »
 
« VIVE La France de Dunkerque à Tamanrasset ! »
 

« L’Algérie, c’est la France et la seul négociation avec le peuple algérien, c’est la guerre… »

« La rébellion algérienne ne peut trouver qu'une forme terminale :   La guerre. et Puis, L'Algérie, c'est la France »

Le 12 novembre 1954 Pierre Mendès France, président du Conseil, confirme ce refus devant l'Assemblée nationale " ... J'affirme qu'aucune comparaison avec la Tunisie ou le Maroc n'est plus fausse, plus dangereuse. ici  c'est la France.
A l'issue de son voyage, le gouvernement  décide  d'envoyer des renforts militaires. Mais alors pour beaucoup va se poser le problème  d'accepter ou non la répression. C'est ce qui provoquera la chute du cabinet de   ( 
Mendès France) Le 5 février 1955). Il est alors opposé à l'indépendance de l'Algérie.

L'Assemblée nationale ayant été une nouvelle fois dissoute.


il est nommé ministre de la Justice garde des sceaux En février 1956. Toutefois, c'est lui qui est chargé par le Conseil des ministres, de défendre le projet de loi  (remettant): 
 
Les pleins  pouvoirs spéciaux à l'armée pour mettre fin au (terrorisme) par tous les moyens. Il donne forcément son aval, en tant que Garde des Sceaux, aux nombreuses sentences de mort prononcées par les tribunaux d'Alger contre des militants de la lutte pour l'indépendance ". 





Bien sur il ne s'agisse que de maintien de l'ordre et organiser la pacification 


Mitterrand , qui a envoyé en Algérie les généraux de l’Indochine pour qu’ils cassent des Algériens comme ils avaient cassé des Indochinois, par la torture
 
 
 
Description de cette image, également commentée ci-après

 photo de Joseph-Ignace Guillotin le père  de la guillotine.

la guillotine est une machine de conception française, une culture purement  française , inspirée d’anciens modèles de machines à décollation, et qui fut utilisée en France pour l’application officielle de la peine de mort par décapitation

 
Résultat de recherche d'images pour "DEUX TERRORISTES GUITONE"
Le 16 mars 1981, peu avant sa première élection à la présidence de la République, François Mitterrand déclare :
 

« Dans ma conscience profonde, qui rejoint celle des églises, l’église catholique, les églises réformées, la religion juive, la totalité des grandes associations humanitaires, internationales et nationales, dans ma conscience, dans le for de ma conscience, je suis contre la peine de mort ».



… Quand le garde des Sceaux, François Mitterrand, quitte son ministère, en mai 1957, en pleine guerre d’Algérie, 45 nationalistes ont été guillotinés... (45) quarante-cinq militants algériens condamnés de manière expéditive.




 
 
- Le 11Avril 1956, le gouvernement socialiste Guy Mollet décidait de rappeler 70 000 soldats du contingent  pour assurer le maintien de "l’ordre" et  organiser :" la pacification »! .Les rappelés tentaient de bloquer les trains, refusaient de monter, saccageaient les gares, insultaient les officiers, tiraient les sonnettes d’alarme, dans les ports des mouvements eurent lieu, des casernes connurent des troubles, ils bénéficiaient en outre du soutien d’une grande partie de la population.
 

- 1954 : 50 000 hommes dont 38% d’appelés

- 1955 : 100 000 hommes (dont des rappelés)

- 1956 : 200 000 hommes (dont des rappelés)

- 1957 : 400 000 hommes dont 57% d’appelés (30 mois de  Service)

-  Entre 1952 et 1962: 1 343 000 appelés et rappelés et 407 000 engagés.




m'sirda . le debarquement français  



 






m'sirda  aujourdhui  مسيردة اليوم


 



Guy Mollet ET  françois Mitterrand

 

- (1942). Vélodrome d'Hiver (paris) – un train, des gendarmes, la milice, et la matraque 

- (1956). Brest (Région Bretagne) – (Marseille), un train, des gardes mobiles, des CRS, et la matraque.

 



 -  14 سنة فقط تفصل بين هذين ألحدثين ، في عام 1942 المسمى) (FM) فرانسوا ميتران) عمل بشكل مباشر وتعاون مع Petain )  بيتان ) (رجل المانيا النازية على فرنسا). ونفس الشيء وقع  في 1956 وهو ذاته المسمى )( FM )فرانسوا ميتران) اصبح بعد دلك  وزيراً للعدل حافظ ألأختام ليشرف على وضع وتنفيذ مرسوم قانون يعطي به صلاحيات جد خاصة للجيش والإدارة الفرنسية بالجزائر لقمع انتفاضة الشعب   الجزائري.

Le garde des Sceaux François Mitterand en 1956, pendant la guerre d'Algérie, avec le ministre résidant en Algérie Robert Lacoste (AFP)

Le garde des Sceaux François Mitterand en 1956, pendant la guerre d'Algérie, avec le ministre résidant en Algérie Robert Lacoste

" Les pleins  pouvoirs spéciaux à l'armée pour mettre fin au (terrorisme) par tous les moyens. Il donne forcément son aval, en tant que Garde des Sceaux, aux nombreuses sentences de mort prononcées par les tribunaux d'Alger contre des militants de la lutte pour l'indépendance, notamment , fernand iveton, membre du    Parti communiste algerien, guillotiné à Alger le 11/02/1957 . Il couvre l'exécution de(45) quarante-cinq militants algériens condamnés de manière expéditive. "

"La loi de Mars 1956 (loi François Mitterrand) créait les conditions légales de la torture en Algérie ( 455 voix pour ( communistes compris) contre 76). Les pouvoirs spéciaux sont votés"  . 
 
1956  ( قانون  فرانسوا  ميتران )  من شأنه  خلق الشروط  الشرعية  والقانونية للتعذيب  في الجزائر    ( 455  صوت لصالح  القانون ضد 76  بما فيهم الشيوعيين    ) بتمرير هدا القانون اُعطي  به  صلاحيات جد خاصة للسلطات الفرنسية في الجزائر المدنية منها والعسكرية  لممارسة كل انواع القمع والتعذيب والقتل  ضد اهل البلد .

- Des appelés volontaires pour servir dans certaines unités de choc (béret rouge), et je peux affirmer pour en avoir parlé récemment avec certains, qu’ils étaient fiers d’aller « casser du fellagas », qu’ils étaient pro-Algérie française et qu’ils le sont restés, ceci indépendamment de toute affiliation politique quelconque.
- Des appelés qui, pour la plupart n’étaient pas du tout volontaires pour aller se faire tuer .
- Des rappelés ( ex-militaires de carrière) devenus civils et peu enclin à retourner au baroud.
- Des rappelés qui, eux avaient déjà effectué leur service militaire, étaient redevenus civils, travaillaient, s’étaient mariés, certains avaient des enfants ou allaient devenir papa, pour ces derniers, et vous le comprendrez facilement, le gouvernement de l’époque a dû employer la force pour contraindre ces hommes à aller en Algérie y effectuer une mission de « pacification !!!.

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